L’étude de Santé Canada met en lumière la manière dont les femmes sont forcées de se prostituer par des membres de leur propre famille, des proxénètes qui agissent comme leur petit ami et de petits groupes criminels mal définis.
Le rapport daté de mai 2014, mais rendu public seulement jeudi, donnera des munitions de plus aux militants qui réclament au gouvernement conservateur une commission d’enquête nationale sur les meurtres et disparitions de femmes autochtones. »
Sources :Pisani, Francis. « Internet saisi par la folie des Weblogs ». Le monde diplomatique. En ligne. Août 2003, p. 8-9. <http://www.mondediplomatique.fr/2003/08/PISANI/10301>. Consulté le 23 janvier 2005.
« Des femmes de Thunder Bay vendues aux États-Unis » Radio-Canada. Août 2013. <http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/628486/trafic-femmes-thunderbay>. Consulté le 9 mai 2017.
« ‘They are not just a statistic. They are people. They are little girls.’» In Highway of tears : Canada's missing and murdered, Radio-canada. En ligne. < http://www.cbc.ca/radio/thecurrent/features/missingandmurdered>. Consulté le 9 mai 2017.
Millot, Pascale. « Traite des femmes autochtones au Canada : Un phénomène occulté ». En ligne. 2015. <https://www.gazettedesfemmes.ca/12498/traite-des-femmes-autochtones-au-canada-un-phenomene-occulte/>. Consulté le 9 mai 2017.
« Highway of tears ». In Highway of tears : Preventing violence against women En ligne. <http://highwayoftears.org/about-us/highway-of-tears>. Consulté le 9 mai 2017.
La presse canadienne. «Les Autochtones plus à risque de se prostituer ». In Métro. En ligne. 2014. <http://journalmetro.com/actualites/national/560088/les-autochtones-plus-a-risque-de-se-prostituer/>. Consulté le 10 mai 2017.